Conférences co-organisées par la SPS
2ème Journée Philosophie des sciences et intelligence artificielle - « Prédire et expliquer les phénomènes sociaux » 06 février 2020
Organisée par l’AFIA et la SPS
Le jeudi 6 février 2020 à l’Institut des systèmes complexes de Paris Île-de-France
Également financée par l’ISC-PIF, l’IHPST, SDN et le LIP6 (H2020 ODYCCEUS)
Équipe organisatrice
– Isabelle Drouet (Université Paris IV)
– Robin Lamarche-Perrin (CNRS)
– Marion Vorms (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
https://iscpif.fr/evenements/journee-philosophie-des-sciences-et-intelligence-artificielle/
Organisation, retours des participants, et suites de la journée
La seconde journée « Philosophie des sciences et intelligence artificielle » organisée par
l’AFIA et la SPS a eu lieu le 6 février 2020 à Paris (Institut des systèmes complexes de
Paris Île-de-France). L’événement a été annoncé sur les listes de diffusion des institutions
partenaires et a finalement accueilli 80 personnes.
Outre la présentation des institutions en début de matinée (Francesca Merlin pour la SPS,
Pierre Feillet pour l’AFIA et David Chavalarias pour l’ISC-PIF), la journée a fait l’objet de
six exposés de 60 minutes (cf. programme détaillé ci-dessous) qui ont tous soulevé de
nombreuses questions et de nombreuses remarques de la part du public.
Les diapositives des interventions seront bientôt disponibles sur le site de l’AFIA.
Programme
09h00 Accueil des participant·e·s
09h15 Présentation de l’ISC-PIF par David Chavalarias (directeur), de l’AFIA par Pierre
Feillet (membre du CA) et de la SPS par Francesca Merlin (présidente)
09h30 Silicone prophète. L’IA face aux défis de la prédiction en sciences sociales
Henri Galinon (Université Clermont-Auvergne)
10h30 Pause café
10h50 Les défis d’une aide à la décision intelligente : de la modélisation des
jugements humains à l’explication des recommandations
Wassila Ouerdane (CentraleSupélec)
11h50 Comprendre et prédire : étude de cas sur la prédiction du vote à l’aide de
modèles statistiques du langage
Denis Bonnay (Université Paris Nanterre)
12h50 Pause
14h00 Justice & Intelligence artificielle : qu’est-ce que l’informatique se propose
d’apporter au droit ?
Fabien Tarissan (CNRS Paris)
15h00 Le succès des algorithmes prédictifs remet-il en cause notre notion de
connaissance scientifique ?
Anouk Barberousse (Sorbonne Université Paris)
16h00 Pause café
16h30 Pourquoi la société ne se laisse pas mettre en équations
Pablo Jensen (CNRS Lyon)
17h30 Clôture de la journée
Journée Philosophie des Sciences et Intelligence Artificielle, Le Jeudi 02 février 2017, 09:00 à 18:00
Journée Philosophie des Sciences et Intelligence Artificielle
Le Jeudi 02 février 2017, 09:00 à 18:00
Journée Philosophie des Sciences et Intelligence Artificielle
Jeudi 2 février 2017, École normale supérieure, 29 rue d’Ulm
Journée organisée par l’AFIA, la SPS, et le DEC
Responsables scientifiques :
– Robin Lamarche-Perrin (ISC-PIF, LIP6, CNRS)
– Daniel Andler (DEC, École normale supérieure)
Dès son apparition dans les années 1950, l’intelligence artificielle (IA) a suscité une intense curiosité chez les philosophes. Soixante ans plus tard, après avoir traversé des périodes difficiles, mais également contribué à l’essor des sciences cognitives, l’IA semble aujourd’hui en passe de remplir ses promesses et d’introduire une série de bouleversements économiques, culturels voire anthropologiques. Mais l’IA d’aujourd’hui est-elle celle d’hier? Qu’annoncent ses succès présents ? Pour commencer à répondre à ces questions, une réévaluation de ses fondements et de sa place dans le système technoscientifique semble nécessaire. À cette tâche, qui échoit à parts égales aux spécialistes du domaine et aux philosophes des sciences, l’AFIA, la SPS, et le DEC ont souhaité contribuer en organisant une journée d’étude, focalisée sur trois thèmes complémentaires :
– la philosophie de l’IA et l’IA comme philosophie expérimentale;
– l’impact du tournant pragmatique pour l’IA, et en particulier les approches 4EA (Embodied, Embedded, Enacted, Extended, Affective);
– l’apport des concepts d’émergence et de complexité dans notre compréhension de ce que sont l’intelligence et la cognition.
Cette journée se tiendra dans l’amphithéâtre Jean-Jaurès de l’École normale supérieure, 29 rue d’Ulm, Paris 5e. L’inscription est gratuite mais obligatoire.
Contact : Robin.Lamarche-Perrin@lip6.fr
Programme
Programme de la journée
8:30-9:00 : Accueil des participants
9:00-9:30 : Introduction
– Présentation de l’AFIA (Yves Demazeau), de la SPS (Stéphanie Ruphy) et du DEC (Daniel Andler)
– Présentation du programme de la journée (Daniel Andler et Robin Lamarche-Perrin)
9:30-10:20 : Joël Quinqueton, L’IA comme épistémologie expérimentale : regards sur 40 ans d’histoire
Professeur émérite de l’Université de Montpellier III, Laboratoire d’Informatique, de Robotique et de Microélectronique de Montpellier
10:20-10:40 : Pause
10:40-11:30 : Jean-Michel Roy, GOFAI, NEWFAI et le problème de l’intentionnalisme
Professeur à l’École normale supérieure de Lyon et à l’École normale supérieure de l’Est de la Chine
11:30-12:20 : Jean-Louis Dessalles, Le rôle de la complexité et de la simplicité dans l’émergence des capacités cognitives
Professeur à Télécom ParisTech, Laboratoire Traitement et Communication de l’Information
12:20-13:40 : Repas (offert par l’AFIA, la SPS et le DEC)
13:40-14:30 : Catherine Garbay, D’une intelligence artificielle à une intelligence incarnée dans l’activité humaine
Directrice de recherche au CNRS, Laboratoire d’Informatique de Grenoble
14:30-15:20 : Pierre Steiner, Intelligence artificielle et « cognition 4E » : un changement de paradigme ?
Enseignant-chercheur à l’Université de technologie de Compiègne, Laboratoire Connaissances, Organisations et Systèmes Technique
15:20-15:40 : Pause
15:40-16:30 : Raja Chatila, Questionnements éthiques sur la Robotique et l’Intelligence Artificielle
Professeur à l’Université Pierre-et-Marie-Curie, directeur de l’Institut des Systèmes Intelligents et de Robotique
16:30-17:20 : Daniel Andler, discussion et clôture de la journée
Professeur émérite de l’université Paris-Sorbonne, membre de l’Académie des sciences morales et politiques
Résumé des exposés
Jean-Michel Roy, GOFAI, NEWFAI et le problème de l’intentionnalisme
Professeur à l’École normale supérieure de Lyon et à l’École normale supérieure de l’Est de la Chine
La Good Old Fashion Artificial Intelligence, légitimement considérée comme une application des principes généraux de la conception cognitiviste de la cognition, s’est heurtée à diverses limitations désormais bien établies et renvoyant à un certain nombre de problèmes de fondements autour desquels s’est cristallisé le débat philosophique contemporain sur l’intelligence artificielle. Parmi eux figure au premier chef celui de la capacité de cette dernière à artificialiser la propriété d’intentionnalité considérée par la majorité des théories des facultés mentales depuis le dernier quart du XIX siècle (cf. en particulier Franz Brentano 1874), y compris celles issues de la Révolution Cognitive des années 50, comme une marque essentielle du mental. Les plus célèbres arguments critiques déployés à cet effet sont ceux de Hubert Dreyfus et de John Searle. Ils jouèrent un rôle actif dans le processus d’émergence de ladite Newfound Artificial Intelligence, autour de laquelle s’est progressivement ralliée une grande partie du domaine de l’intelligence artificielle. Cette évolution cruciale d’une approche GOFAI à une approche NEWFAI peut être considérée comme une facette particulière de la transformation plus générale de ses principes fondamentaux qu’a connue l’entreprise cognitive contemporaine, et qui l’a conduite du cognitivisme à la perspective désormais couramment dénommée 4E. La question se pose donc de savoir si, et le cas échéant comment et avec quel succès, l’approche NEWFAI, et partant d’une certaine manière l’approche 4E dans laquelle elle s’inscrit, a résolu le problème de l’artificialisation de l’intentionnalité. Telle est celle qui sera examinée ici.
Aux frontières de la physique et de la philosophie, Du Samedi 07 janvier 2006 23:00 au Dimanche 08 janvier 2006, 02:00
Aux frontières de la physique et de la philosophie
Du Samedi 07 janvier 2006 23:00 au Dimanche 08 janvier 2006, 02:00
Année Mondiale de la Physique
CNRS – Département SHS
Société de Philosophie des Sciences
Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques (CNRS – Unversité Paris 1 – ENS)
L’Année Mondiale de la Physique a été l’occasion de mieux faire connaître la physique sous tous ses aspects. Quelques jours après son terme officiel, cette journée a pour but de mieux faire connaître en France une discipline proche, mais méconnue, la philosophie de la physique. Elle a l’ambition de faire se rencontrer des physiciens et des philosophes de la physique pour aborder des questions qui leur sont communes. La participation de tous est vivement souhaitée afin que s’instaure un dialogue qui ne peut manquer d’être fécond, et d’avoir d’importantes répercussions sur l’enseignement de la physique et de la philosophie.
Programme
Ecole Normale Supérieure, Salle Dussane
14h : Introduction (Anouk Barberousse, CNRS, IHPST)
14h15 : Understanding and False Theories (Gordon Belot, University of Pittsburgh)
In the strictest sense, theories like geometric optics, Newton’s theory of gravity, and Maxwell’s theory of electromagnetism are false. Yet these theories live on in teaching, research, and application, yielding not only accurate models of phenomena but also, it would seem, genuine physical understanding. This presents a challenge to philosophers of science: to explain how false theories can yield such understanding. I will discus the prospects of success of three approaches that philosophers have taken to this question.
14h45 : Discussion
15h : Table ronde :
Bertrand Duplantier (Service de physique théorique, CEA) : Brownian motion, Boltzmann distribution and Irreversibility
Alexandre Guay (IHPST) : De l’utilité des parties inutiles dans les théories physiques
15h30 : Pause café
16h : Suite de la table ronde :
Gilles Cohen Tannoudji (CEA) : La notion de modèle standard
Guido Bacciagaluppi (IHPST) : False theories and teleportation
Etienne Klein (CEA) : La notion de « découverte philosophique négative »
17h : Discussion générale, introduite par Daniel Andler, président de la Société de Philosophie des Sciences
Conférences soutenues par la SPS
6th Young Natural History Researchers’ Meeting (12-16 mars 2019, Paris, MNHN), Du Mardi 12 mars 2019 09:00 au Samedi 16 mars 2019, 18:00
6th Young Natural History Researchers’ Meeting (12-16 mars 2019, Paris, MNHN)
Du Mardi 12 mars 2019 09:00 au Samedi 16 mars 2019, 18:00
La SPS est partenaire de la session « Humanities and Natural Sciences ».
Deux membres du CA de la SPS (Francesca Merlin, Président ; Vincent Ardourel, Vice-Président Jeunes Chercheurs et Jeunes Chercheuses) sont membres du jury décernant le prix pour cette session.
La scientificité des sciences humaines, Du Mercredi 07 novembre 2007 14:00 au Jeudi 08 novembre 2007, 16:00
La scientificité des sciences humaines
Du Mercredi 07 novembre 2007 14:00 au Jeudi 08 novembre 2007, 16:00
Institutions organisatrices :
Le Laboratoire Logiques de l’agir de l’Université de Franche-Comté (EA 2274 – UFC)
L’Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques (UMR 8590 – CNRS/Paris I/ENS)
La Maison des Sciences de l’Homme C. N. Ledoux (UMS 2913 – CNRS-UFC/UTBM)
L’École doctorale Langage, Espace, Temps, Société
avec le soutien de la
Société de Philosophie des Sciences
et du
Conseil régional de Franche-Comté
Journées d’études organisées dans le cadre du projet SIPS (Système d’information en philosophie des sciences) par le Laboratoire Logiques de l’agir (EA 2274), avec le soutien de la Maison des Sciences de l’Homme C. N. Ledoux (UMS 2913), de l’Institut d’histoire et de philosophie des sciences et des techniques (IHPST-UMR 8590), de l’École doctorale LETS de l’Université de Franche-Comté, de la Société de philosophie des sciences (SPS) et du Conseil Régional de Franche-Comté.
Parler de sciences humaines, c’est supposer 1° qu’il existe un groupe de disciplines dont les objets ont en commun un ensemble de propriétés caractéristiques de l’humanité, 2° que les méthodes mises en ouvre par ces disciplines, étant appropriées à leurs objets, diffèrent, au moins partiellement, de celles que mobilisent leurs aînées que sont les sciences de la Nature (vivante ou inorganique), mais garantissent cependant leur scientificité.
Cependant, cette double caractérisation, qui entend poser simultanément la spécificité et la scientificité des sciences humaines, pose problème. D’une part, l’unité disciplinaire que vise l’expression de « sciences humaines » dissimule en réalité une hétérogénéité profonde de leurs objets respectifs. D’autre part et surtout, les sciences humaines font largement appel à la modélisation d’un côté, à la quantification de l’autre. De plus, s’il est vrai que l’expérimentation n’est pas toujours possible dans le champ des sciences humaines, l’analyse comparative ou l’analyse statistique offrent les moyens d’y suppléer efficacement. Bref, la distinction méthodologique entre sciences humaines et sciences de la Nature n’est pas aussi nette qu’on pourrait initialement le penser. En conséquence, si les sciences humaines partagent avec les sciences de la Nature des méthodes communes, à quoi tient alors leur spécificité ? Et partant, l’affirmation de leur unité spécifique ne se dissout-elle pas dans une abstraction indifférenciée ? Cette situation est encore accentuée par la constitution de ce nouveau champ que constituent les sciences cognitives.
Que reste-t-il de la distinction traditionnelle entre sciences de la Nature et sciences de l’Esprit ? Plus clairement, la question se pose de savoir comment penser aujourd’hui la scientificité des sciences humaines, donc aussi leur spécificité, si tant est qu’il soit possible d’apporter ici à ces questions une réponse univoque et globale, ce qui reste à vérifier. À cet égard, la situation propre de l’histoire, ou plus généralement de l’explication historique, mérite une attention particulière.
Thierry MARTIN
Logiques de l’agir (EA 2274, Besançon) et
IHPST – UMR 8590 (CNRS/Paris I/ENS)
Programme
Conseil Régional de Franche-Comté
4, square Castan,25000 Besançon
salle Edgar Faure
Mercredi 7 novembre 14h – 18h
14 h Ouverture du colloque
Président de séance : Jacques DUBUCS
14 h 15 Bernard WALLISER – ENPC-EHESS – Les modèles économiques formels sont-ils un gage de scientificité ?
15 h Lena SANDERS – UMR 8504 Géographie-cités – Géographie quantitative et analyse spatiale : quelles formes de scientificité ?
15 h 45 Discussion et pause
16 h 15 Daniel ANDLER – Université Paris-Sorbonne (Paris IV)-Institut universitaire de France – Programmes naturalistes et scientificité des sciences de l’homme
17 h Jacques LAUTMAN – Laboratoire méditerranéen de sociologie, UMR 6127 – Analyser, interpréter et prendre le risque de l’erreur
17 h 45 Discussion
Jeudi 8 novembre 9h – 12h
Président de séance : Thierry MARTIN
9 h Gérard LENCLUD EHESS – Laboratoire d’Anthropologie Sociale – L’explication historique dans les sciences de l’homme
9 h 45 Jacques DUBUCS – IHPST-UMR 8590 (CNRS/Paris I/ENS) – « Sciences Humaines » : un accident orthographique ?
10 h 30 Discussion et pause
11 h Gretty M. MIRDAL – University of Copenhagen – The scientificity of psychological treatment: the question of evidence in the realm of the mind
11 h 45 Discussion et pause
Jeudi 8 novembre 14h – 16h
Président de séance : François FAVORY
14 h Alban BOUVIER – Université de Provence et Institut Jean Nicod (CNRS/EHESS/ENS) – Science du général, connaissance du singulier et modélisation en sciences sociales
14 h 45 Pierre DEMEULENAERE – Centre d’études sociologiques de la Sorbonne – Description, explication et mécanismes en sociologie
15 h 30 Discussion et pause
16 h Clôture du colloque
La métaphore de la mosaïque dans le monde vivant et ses multiples facettes, Du Samedi 26 mai 2007 18:30 au Dimanche 27 mai 2007, 03:00
La métaphore de la mosaïque dans le monde vivant et ses multiples facettes
Du Samedi 26 mai 2007 18:30 au Dimanche 27 mai 2007, 03:00
Journée thématique du 26 Mai 2007 sous la direction de Michel Morange et Georges Chapouthier avec le soutien du Centre Cavaillès, de l’Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques (IHPST) et de la Société de philosophie des sciences.
Programme
Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques, 13, rue du Four, 75006 Paris.
Matin – 9h30-13h (Présidence : Jacques Dubucs)
Ouverture : Jacques Dubucs
« Exposé préliminaire sur la mosaïque en art » (Nadeije Dagen)
« Des structures en mosaïque aux origines de la vie » (Marie Christine Maurel)
« Biochimie et biologie moléculaire » (Michel Morange)
« Les chimères en immunologie» (Thomas Pradeu)
« Modularité des processus cellulaires : principe d’organisation du vivant ou contrainte méthodologique ? » (Vincent Schächter).
« Mosaïque et vision » (Michel Imbert)
Déjeuner
Après-midi – 15h-18h (Présidence : Jean Gayon)
« Du système nerveux à la pensée : une complexité en mosaïques » (Georges Chapouthier)
« La mosaïque du langage » (Stéphane Robert)
« Une pensée modulaire ? » (Denis Forest)
« Fossiles, ADN et grands singes: la mosaïque de l’évolution humaine » (Pascal Picq)
« Les mosaïques en écologie » (Patrick Blandin)
Conclusion (M.Morange)
HOPOS 2006, Du Mardi 13 juin 2006 18:30 au Lundi 19 juin 2006, 03:30
HOPOS 2006
Du Mardi 13 juin 2006 18:30 au Lundi 19 juin 2006, 03:30
6 e Congrès international d’histoire de la philosophie des sciences
The International Society for the History of Philosophy of Science en collaboration avec la Société de philosophie des sciences
Program Committee
Jean Gayon (coprésident) ; Doug Jesseph (coprésident); Roger Ariew; Bernadette Bensaude-Vincent; Joël Biard, Janet Folina, Dan Garber, Don Howard, Paolo Mancosu, Marco Panza, Warren Schmaus
Comité local d’organisation
Anastasios Brenner (président), Daniel Andler, Anouk Barberousse, Michel Bourdeau, Frédéric Fruteau de Laclos, Jean Gayon, Michaël Heidelberger, Thierry Martin, Marthe Tournou, Pierre Wagner
Site : Sylvie Allouche
Avec le concours du Centre Georges Canguilhemet de l’Institut d’histoire et de philosophie des sciences et des techniques
École normale supérieure – 45 rue d’Ulm 75005 Paris